NDBS

dessin NDBS  

Notre église date de la fin du XIXème siècle, peu après la création de la commune de Bois-Colombes, précédemment bois de Colombes. Il s’agit d’une paroisse relativement active avec de nombreux groupements, dont le nôtre  !

Depuis Septembre 2002, notre paroisse a été confiée à la Communauté de l’Emmanuel.

Nos prêtres actuels sont : Emmanuel DUMONT(curé)

                                                 Philippe MAROT

                                                 Etienne KERN

                                                 Dany EPHREM

                                                 José LIKOULO

Pour plus d’information, n’hésitez pas à consulter sur le site de la paroisse :

Cliquez ici pour arriver sur le site de la paroisse !

(Il est remis à jour ! :-) )

 résumé de l'historique de la paroisse

 (Source : « Contribution à l’histoire de la paroisse Notre-dame de Bon Secours », livret fait à l’occasion du centenaire de la paroisse en 1997 par le P. Jung et l’équipe du Centenaire)

I Naissance de la commune et de la paroisse.

            La création de la paroisse est indissociable de la naissance de la commune de Bois-Colombes. C’est l’apparition du chemin de fer qui marque le coup d’envoi du développement de la commune. En 1856, en effet, le village qui commençait à naître fut desservi par la station de Bois-Colombes (forme contractée de bois de Colombes). Dans les années 1870, l’abbé Le Comte acquit un terrain rue des Aubépines (maintenant rue… du général Leclerc !) sur lequel il bâtit une chapelle, ouverte aux fidèles dès le 19 juillet 1870. Un décret de 1885 érige cette ancienne annexe de Saint Pierre / saint Paul de Colombes en chapelle de secours ce qui explique qu’elle ait pris le nom de Notre-dame de Bon Secours. Le 9 mars 1891, un vicaire de Colombes, l’abbé Théodore Collignon, fut chargé de cette chapelle : il en deviendra le 1er curé.

            Dès son arrivée, l’abbé Collignon se rallia au mouvement séparatiste qui travaillait à faire de Bois-Colombes une entité aussi bien politique que religieuse. La loi érigeant la commune de Bois-Colombes en commune de plein exercice sera finalement promulguée le 17 mars 1896. Le nouveau conseil municipal sollicite alors l’autorisation de faire de l’église une chapelle paroissiale. C’est le 9 juillet 1897 que Félix Faure, président de la république, signe le décret faisant de l’église une chapelle paroissiale. L’archevêque de Paris signe alors le 2 Août 1897, l’ordonnance qui établit : « quant aux effets religieux et sous le vocable de Notre-Dame de Bon Secours, la chapelle de Bois-Colombes en chapelle paroissiale. »

II 1er ministère : l’abbé Théodore Collignon (de 1897 à 1918).

            Né en 1853, ordonné prêtre en 1878. A donc contribué, comme nous venons de le voir, à la véritable naissance de la commune. Il s’était donné pour tâche d’agrandir et d’orner l’église, dépensant sa fortune personnelle dans ces travaux. Il laisse le souvenir d’un prêtre soucieux  des pauvres. En raison de ses multiples services, il sera fait chanoine de Notre-Dame de Paris et d’Evreux mais son attachement à Bois-Colombes lui fit refuser un poste d’avancement à Paris. Epuisé par une longue maladie, il s’éteint à Nice le 25 janvier 1918 dans les bras de son vicaire, l’abbé Vincent, qu’il avait appelé à son chevet. Selon son vœu le plus cher, il fut enterré au cimetière de Bois-Colombes, au rond point principal réservé aux bienfaiteurs de la commune.

            C’est pendant ce temps que certains commencent à souhaiter la séparation de l’Eglise et de l’état. Le père Collignon continue lui de construire méthodiquement sa paroisse. En effet, au début, la chapelle ne peut contenir que 350 personnes. En 1899, il augmente l’édifice d’une travée de 5 mètres. En 1900, il achète le terrain contigu et il y fait construire de 1903 à 1910 un bâtiment qui pourra être utilisé comme chapelle des catéchismes. En 1901, le clocher est doté de 4 cloches et des vitraux embellissent la nef. En 1903, le grand orgue de Béasse prend place à la tribune.

            A la fondation de la paroisse, on vivait encore sur les principes du Concordat. Le 9 décembre 1905 paraît la loi Combes qui officialise la séparation de l’Eglise et de l’état. Elle ordonne aussi l’inventaire de tous les biens d’église qui devront être confiées à des associations cultuelles de chrétiens. Le 6 février 1906, le maire de Bois-Colombes informe le curé que l’inventaire de NDBS aura lieu le lundi 12 février. Le curé et son conseil décident alors d’écrire une protestation et, le 12 février, le curé la lit en présence de 200 paroissiens qui s’étaient réunis. A la fin, les fidèles crièrent : « Nous sommes chez nous. Pas d’inventaire ! A la porte ! » et poussèrent dehors les officiels. Le lendemain, tôt le matin, des forces de police barrèrent la route et l’inventaire eut lieu que le curé refusa de signer.

            Le Journal de la Seine du 10 décembre 1906 raconte la suite du conflit : « Des agents du gouvernement viennent constater que le Père Collignon dit la messe sans autorisation préalable. Le constat étant fait, monsieur l’Abbé Collignon va avoir à comparaître devant les magistrats pour avoir dit la messe. » Le même journal raconte le 23 décembre suivant que le maire de l’époque, Charles Duflos, souhaite la paix. Il demande à 2 personnes de venir déposer en faisant la déclaration au nom de la paroisse ce qui va arranger tout le monde finalement. Pendant 1 an, ils assureront la responsabilité des réunions du culte, jusqu’à ce que la demande d’autorisation soit supprimée en mars1907.  Les rapports avec la mairie furent bons par la suite…

            Le 21 février 1909, le Cardinal Amette, archevêque de Paris, vint faire sa 1ère  visite pastorale dans notre paroisse. En 1910, de graves inondations désolèrent la région et l’eau atteignit les Quatre Routes. La salle des catéchismes servit à cette occasion pour donner asile aux réfugiés et distribuer des repas. 200 personnes y trouvèrent refuge pendant 4 semaines. Peu de temps après mourut le maire Monsieur Duflos, vraiment regretté par la population pour son action pacificatrice. La santé du père Collignon l’obligea à quitter son cher Bois-Colombes pour aller mourir à Nice en 1918.

III 2ème ministère : l’abbé Gabriel Bréant (de 1918 à 1932).

            Le 19 mars 1918, l’Abbé Gabriel Bréant est installé par Albert Delage, vicaire général de Mgr Amette. « Notre nouveau curé ne s’est pas fait d’illusion sur la lourde succession qu’il assumerait. Mais grâce à son tact, à son esprit pondéré et à son affabilité, il s’attira rapidement la sympathie de ses nouveaux paroissiens. » Effectivement, le nouveau curé rentra rapidement dans la perspective « pionner et fondateur » qui fut celle de son prédécesseur.

            Le conseil curial reprend ses activités interrompues par la guerre le 21 novembre 1919. C’est à ce conseil que le Père Bréant va faire part, le 24 février 1922, de son intention de créer une « association loi 1901 » afin de pouvoir obtenir une subvention de la municipalité. Le 14 novembre 1922, l’association L’Aubépine, qui va pouvoir acheter et vendre au nom de la paroisse, est déclarée au Journal Officiel. Le 26 mai 1922, une discussion vive surgit à propos de la création de la paroisse Saint Joseph des Quatre-Routes qui amputerait une partie du territoire de la paroisse. Malgré une protestation remise à l’archevêché, cette nouvelle paroisse verra le jour. Entre 1923 et 1924, L’Aubépine va acheter des terrains et immeubles autour de l’Eglise afin de l’agrandir. C’est à cette époque qu’est acheté le presbytère (mais si ! Vous savez bien ! L’immeuble à gauche devant l’église !). Un plan visant à renouveler l’église par tranche est également mis en œuvre. Cela va commencer par le bas-côté droit avec la sacristie qui sera achevée et meublée de chaises. Le 29 février 1924, on remet en vigueur le tarif pour les chaises, différé depuis la fondation de l’église (chaise : 0.10 francs et prie-Dieu : 0.15 francs).

            Le 23 mai 1924, nouvelle inquiétude car le maire a demandé à monsieur le Curé de faire l’inventaire des biens mobiliers et immobiliers de l’église relevant des biens communaux depuis la loi de 1905. Ces événements sont dus à un changement politique du pouvoir. Edouard Herriot annonce ainsi la suppression de l’Ambassade au Vatican, l’expulsion des congrégationistes rentrés en France et l’application de la loi de la séparation à l’Alsace-Lorraine. La tension entre le gouvernement Herriot et l’Eglise atteint son paroxysme au début de l’année 1925 mais le ministère est vite renversé et son successeur annulera ces mesures. A Bois-Colombes, on respire donc et on continue la construction de l’Eglise.

            Le 5 juillet 1926 commencent les travaux : agrandissement du chœur, bas-côté gauche… Les exercices de Carême sont suivis par une assistance nombreuse. Le 3 avril 1927 eut lieu l’inauguration de la nouvelle église sous la présidence du Cardinal Dubois, archevêque de Paris. Le Père Bréant ne manque pas à cette occasion de remercier la commune pour sa générosité lors des travaux, signe manifeste d’une bonne entente entre la paroisse et la municipalité pour le bien de la commune. A partir de ce moment, l’église connaît l’ampleur qu’elle a encore aujourd’hui mais, avec les poutres en bois qui soutiennent le plafond, il reste encore une tranche de travaux à effectuer. Le 9 mars 1929 sont signés les forfaits concernant les travaux pour l’achèvement de l’église (nef, toiture, dallage, chauffage, électricité…) et ces travaux seront terminés le 2 février 1930.

            La visite pastorale de 1928 permet d’en savoir un peu plus sur les activités de la paroisse à cette époque. A cette époque, Bois-Colombes compte 21 862 habitants. Le dimanche, 4 à 5000 personnes viennent à l’une des 6 messes: 6h45, 7h45, 8h45, 9h15, 10h30 (grand-messe) et 11h30. La messe de 8h45 est celle des enfants (la nef leur est réservée) tandis que celle de 6h45 est la moins fréquentée. A celle de 11h30, l’église est trop petite. A 15h ont lieu les Vêpres en grégorien suivis par la bénédiction du Saint Sacrement. Tous les jours, chapelet médité et Salut du Saint Sacrement à 17h30. On trouve un chœur de chant de 5 personnes, une chorale de 45 personnes, un orchestre de 23 musiciens et un groupe de jeunes filles pour le grégorien. Pour seconder le Père Bréant, il y a 3 vicaires mais aussi un suisse, sa femme (lingère et chaisière) et un bedeau.

Baptêmes

Autour de 210 par an

Communions solennelles

160 pour 220 enfants de la classe d’âge

Mariages

Autour de 100 par an

Convois

Autour de 150 par an

Baptêmes d’adultes

23 sur 5 ans

            Et voici un résumé des activités et des œuvres de la paroisse :

                                   - Oeuvres charitables et d’entraide : œuvre paroissiale des vestiaires (des dames confectionnent des vêtements pour les déshérités), Conférence Saint Vincent de Paul et dames patronnesses et bienfaitrices.

                                   - Œuvres sociales : bibliothèque paroissiale, syndicats masculins et féminins, colonies de vacances, diffusion du journal La Bonne Presse, œuvres sociales des Dames françaises (Croix rouge)

                                   - Oeuvres de jeunesse et de persévérance : le catéchisme (600 enfants environ), les mouvements de jeunesse (la Croisade Eucharistique, la troupe scoute qui démarre, le jeunesse catholique, le groupe Saint Gabriel pour les filles).

                                   - Œuvres de foi, d’apostolat et de prière : l’Union paroissiale, l’association L’aubépine.

                                   - Œuvres paroissiales exclusivement religieuses : les enfants de chœur (très nombreux déjà ! Encadrés par les grands clercs et les vicaires), les grands clercs (affiliés aux oblats de Saint Benoît pour leur vie spirituelle et l’amour et la louange de Dieu), les séminaristes (les séminaristes de la paroisse sont 9 à l’époque !), Confrérie de la Bonne Mort (messe mensuelle pour les personnes ayant eu des deuils le mois précédent), confrérie Mère de Miséricorde (pèlerinages  à Pellevoisin), groupes  de messieurs fidèles du chemin de croix (le 2ème dimanche du mois à 14h), l’apostolat de la prière.

            Le Père Bréant a souvent raconté que son dynamisme devait beaucoup à la Vierge Marie invoquée à Pellevoisin dans l’Indre. La statue de Marie que nous avons à la paroisse représente Notre Dame de Pellevoisin. Le caractère marial de l’Eglise voulu par le Père Collignon s’est ainsi trouvé soutenu.

IV 3ème ministère : l’abbé Théophile Vincent (de 1932 à 1958).

            Lorsqu’il s’aventura en 1906 sur le territoire de Notre-Dame de Bon Secours pour rendre visite à un confrère, le Père Vincent ne savait pas qu’il allait y passer 42 ans de sa vie (16 comme vicaire et 26 comme curé). Né à Paris en 1881, ordonné prêtre en 1906, il est nommé comme vicaire à NDBS la même année pour seconder le Père Collignon. Il quitte la paroisse en 1922, nommé 1er vicaire  à la basilique de Saint Denis puis à la paroisse Saint François de Sales. En 1932, à la mort du Père Bréant, il revient à Bois-Colombes et est installé comme curé le 21 mars 1932. Le conseil curial l’accueillit « en toute tranquillité puisqu’il n’était pas un inconnu ». Dès son arrivée, il émet le désir de compléter l’action du Chanoine Bréant en étant très attentif à la piété de ses ouailles et en organisant toute les œuvres existantes autour de l’église.

Il va construire la salle paroissiale (la salle Jean Renoir aujourd'hui) qui permettra les assemblées paroissiales mais aussi les fêtes de tous ordres mais qui contiendra également des salles de réunion pour les différents mouvements de jeunes. Mais cela permettra aussi l'installation d'un... cinéma paroissial ! A cause de sa longue présence à Bois-Colombes, le père Vincent parvint à nouer de très bons rapports avec les municipalités successives. En 1942, il est nommé chanoine honoraire à la cathédrale N-D de Paris. Le 30 juin 1958, il démissionne et se retire dans l'Yonne. Il revient à Paris pour s'y faire soigner et décède le 18 Août 1962 : ses obsèques seront célébrées à NDBS.

Dès son arrivée à la paroisse, l'abbé Vicent rajoute une messe le dimanche ce qui porte le nombre de messes dominicales à 7 La prédication avait seulement lieu à la grand-messe de 10h (aux autres messes, le célébrant faisait juste un court commentaire) et suivait un programme formateur. Environ 4000 personnes, c'est-à-dire 20 % de la population y assistent. Il rajoute aussi une autre messe en semaine et il y a donc tous les jours 4 messes (assistance d'environ 80 personnes) et la récitation du chapelet à 17h45 suivie du salut du Saint Sacrement et de l'Angélus. Des processions sont organiséeslors de diverses occasions.

Les enfants de choeur sont nombreux et assurent avec les grands clercs le service de l'autel. Parmi la liste des grands clercs en 1951, on trouve Claude Ballerait l'un de nos organistes actuels. Les groupes de prière mobilisent aussi de nombreux chrétiens ( Croisade Eucharistique des enfants, les enfants de Marie, la Confrérie du Rosaire, la Confrérie de N-D de pellevoisin, l'Association de la Bonne Mort, etc... ).

Il faut du personnel pour assurer garde et entretien de l'église et ce nombre restera relativement stable durant le ministère de l'Abbé Vincent. On compte un suisse, un bedeau (ou un sacristain), une lingère et une chaisière qui verra sa tâche supprimée en 1956. Quant au suisse et au bedeau, ils disparaissent complètement en 1961. En ce qui concerne le "personnel" religieux, le curé disposera toujours d'au moins 3 vicaires.

1er vicaire
2ème vicaire
Vicaire
Vicaire
1935
 
Abbé Grapin
Abbé Hélas
Abbé Demeulle
1942
Abbé Schneckenburger
Abbé Gente
Abbé Demeulle
Abbé Fuss
1946
Abbé Schneckenburger
Abbé Grimaldi
Abbé Demeulle
1951
Abbé Schneckenburger
Abbé Paulin
Abbé Demeulle
Abbé Duprat

Les vocations de la paroisse sont florissantes et les paroissiens nombreux comme le laisse entendre ce mot du Père Vincent en 1942 :

"Près de 4000 personnes, y compris les 700 enfants du catéchisme passent normalement à l'église tous les dimanches... Les vocations n'ont pas manqué depuis 1935. Trois enfants de la paroisse ont dit leur première messe, trois jeunes sont à Conflans au Petit séminaire, deux jeunes sont au Grand Séminaire d'Issy-les-Moulineaux. Chaque année, nous enregistrons aussi plusieurs prises d'habits ou professions dans les communautés religieuses. "

En ce qui concerne le catéchisme, son programme est celui du catéchisme national. A la fin de chaque année, il y a un exxamen décidant du passage à l'année supérieure. En 1942, 800 enfants sont catéchisés sur la paroisse avec une vingtaine de catéchistes qui aident les vicaires. La messe dominicale de 9h est pour les enfants du catéchisme et le nef leur est réservée.

La formation religieuse des adultes n'est pas oubliée non plus par le Père Vincent. Il établit notamment un plan de formation avec ses prédications sur les thèmes suivants : dogmes, morale, sacrements, liturgie et Evangile. Il y a des conférences durant l'Avent et le Carême mais il existe aussi toute l'année des cercles d'étude mixtes, des groupes spécialisés (l'abbé Vincent les appelle "l'élite") et, bien entendu, toute la presse catholique.

Les oeuvres sont extrêmement variées et chacun peut y trouver son compte. Pour les hommes, on trouve une "union paroissiale des hommes"qui est le mouvement rassemblant le plus de monde, une "association des chefs de famille catholique", un "groupement diocésain d'Action catholique" fonctionnant conjointement avec Sainte Marie des Vallées et Saint Joseph des Quatre-Routes, un "cercle des fonctionnaires catholiques de Bois-Colombes", la "légion de Marie" et enfin une association ayant pour but la défense des Religieux anciens combattants. Les Bois-Colombiennes sont nombreuses (760) à se retrouver à la Ligue féminine d'Action catholique (LFAC). Sur le plan social, la Conférence Saint Vincent de Paul à laquelle s'adjoint l'équipe Louise de Marillac est déjà très présente sur la paroisse. Le vestiaire paroissial continue de bien fonctionner.

Les jeunes ne sont pas en reste quant au nombre d'oeuvres qui leur sont consacrées ! On trouve notamment un patronage de garçons, un de filles, une section de gymnastique (hé si !), un groupe de "coeurs vaillants" mais le scoutisme continue efficacement en parallèle son expansion sur la paroisse, etc...

La guerre n'épargnera pas la paroisse. Voici le bilan des dégâts causés par des bombardements : "175 tuiles cassées, la voûte a été trouée, certains vitraux endommagés près des fonds baptismaux." Les enfants ont pour leur grande majorité quitté Bois-Colombes et il ne reste bientôt plus que 172 enfants au catéchisme.

Suite au prochain numéro !!!

 

V 4ème ministère : l'abbé Henri Pérone (1958-1959).

 

VI 5ème ministère : le père Forgeot d'Arc (19??-1970).

 

VII 6ème ministère : le père Hubert Ameil (1970-1980).

 

VIII 7ème ministère : le père Aristide Dijon (198?-199?).

 

IX 8ème ministère : le père Pierre Jung (199?-2002)

 

X 9ème ministère : le père Simon-Pierre Ludinard (2002-2005)

 

XI 10 ème ministère : le père Emmanuel Dumont (2005- )